DOSSIER DE PRESSE

LE TAROT – RÉVÉLATIONS – FORMATION NOUVELLE

Augustine est le troisième prénom d’une femme passionnée par les sciences antiques depuis son plus jeune âge, elle est cependant vite déçue par le côté occulte que l’on donne à cette pratique. À partir de ses relations familiales compliquées, elle se demande souvent comment comprendre la nature humaine.

Elle décide alors de se consacrer à l’écriture de ce livre : une formation aux tarots anciens. Les sciences secrètes sont séparées par un fossé avec les sciences d’hier et d’aujourd’hui. Et pourtant, les tarots expliquent la conception du monde matériel, du divin et de l’univers. Ils permettent de se recentrer sur soi et d’être acteurs de notre transformation.

L’auteure estime qu’il faut continuer à transmettre le tarot ancien en l’utilisant de manière sacrée et libre.

Essai

Augustine Duchiron naît en 1958 à Auxonne. Elle est militante pour les sciences antiques et la politique. Ses parents sont issus d’un milieu agricole et forestier. À 10 ans, elle rêve d’écrire sur les mondes occultes et de participer pleinement à l’évolution de la vie politique. Le suicide d’un de ses parents la pousse à arrêter ses études. De formation comptable, sa carrière professionnelle est riche en expériences diverses, elle a soif de connaissances et ressent le besoin de trouver sa véritable voie.

AUGUSTINE DUCHIRON

Auteure résidant à Champagnole (39)

Quelle déception à mes 21 ans de m’apercevoir, qu’après une enfance trompée, je tombais dans une sorte de fosse au lion nantie de principes que je ne connaissais pas. Je ne connaissais ni les codes, ni toutes les règles de la société, tantôt humiliantes, tantôt injustes, tantôt compatissantes. Pour moi, les règles sont uniquement les valeurs comme : l’honnêteté, le respect.

C’était naïf de ma part, de penser que tous, nous étions comme cela. Il a fallu que je m’accommode à des principes parfois illogiques.

En primaire, j’étais première de la classe, je m’épanouissais dans cet environnement infiniment petit par rapport aux écoles des grandes villes.

C’est le collège qui a tout changé en moi, j’ai connu la honte car mes vêtements n’étaient pas à la mode. J’ai connu la tristesse de l’isolement. J’ai connu les nouveaux codes et règles d’une société contrôlée et dirigée par la mode, l’argent, le paraître professionnel et public. Un âge, où nous devrions continuer à apprendre les bonnes manières, les bases de la vie que sont le respect, l’amour, l’observation, la communication, la naissance du monde. Nous apprenions plutôt la jalousie, l’exclusion, la compétition, les contraintes d’une société pleines de codes, trop de codes, infiniment injuste.

En conclusion, je devais me battre, car je recherchais la reconnaissance. Je me suis longtemps demandée pourquoi ? Ai-je besoin d’être observée, regardée ou enviée ?

Ce livre débute par une synthèse de la création des sciences antiques. Il relève les incohérences, réhabilite les tarots anciens comme support dans notre parcours personnel, oublie les mots tels que : « Homme », « positif », « négatif », « pouvoir » ou « gouvernance ».

Cet essai rappelle que les pandémies sont des conséquences, des mises en garde vis-à-vis de notre utilisation de la Terre, que nous détruisons. L’histoire des sciences antiques s’appuie sur le discours de certains philosophes qui se sont battus pour elles, pour assurer la continuité des systèmes de transmission de secrets retraçant la conception du monde.